La seule chose dont il faut avoir peur, c’est la peur elle-même. (Franklin Roosevelt)
Le climat anxiogène ne laisse que peu de place au rire, à la légèreté, aux embrassades… à tout ce qui donne sa couleur à la vie ! L’anxiété, la peur, les mauvaises pensées et les idées négatives détériorent votre santé, votre moral, votre immunité.
Or, les médias sèment la panique et alimentent la peur : peur au sujet de la pandémie, peur au sujet des autres, peur au sujet des virus et bactéries pourtant si nécessaires à votre corps et à la vie.
Le premier geste santé est donc d’éteindre votre radio et télévision, surtout au moment des informations.
Rappelez vous : chaque fois que vous riez, vous êtes libre !
N’attendez plus qu’on vous dise ces phrases-là. Dites-les-vous en premier, car :
C’est à vous d’en faire une priorité.
Avec amour, avec détermination.
Si vous ne le faites pas, ce sont les priorités des autres qui seront en pôle position dans votre agenda.
Il arrive un moment, dans toute démarche de changement, où l’inconfort augmente alors que le bénéfice n’est pas encore au rendez-vous.
C’est chaotique, c’est l’inconnu, c’est compliqué. Et on doute, on ne sait pas, on ne sait plus, on n’est plus du tout persuadé que c’était une bonne idée.
C’est le moment où on est tenté de tout arrêter. De replonger se cacher sous la couette avec un paquet de gâteaux.
Seulement voilà : si vous faites machine arrière quand l’inconfort apparaît, vous vous priverez de votre propre croissance. Vous raterez l’opportunité de découvrir ce qu’il y a de l’autre côté.
De découvrir qui vous êtes.